argument de Pierre Rhallys.
2 flûtes, 2 hautbois, clarinette, basson, 2 cors, 2 trompettes, 3 percussionnistes [ou 4], 6 violons, 4 altos, 6 violons II, 4 violoncelles, 2 contrebasses, piano, trombone
France, Lyon-Charbonnières, Festival
les Ballets 1956.
L'exécution non scénique de cette œuvre a été interdite par Maurice Ohana.
Cette rencontre avec un des plus grands mythes de l'antiquité concrétise, cinq ans après les Représentations de Tanit, la tendance de Maurice Ohana à débusquer les forces spirituelles de l'homme à travers la mise en scène musicale et gestuelle. Il refusera bientôt définitivement la trame obligée d'un argument de ballet pour laisser la parole à la seule musique.
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