2 pianos, 2 percussionists
Yarn/Wire.
Orchestra of Black Butterflies ouvre une réflexion sur l’amour que l’on porte à l’orchestre et sur sa dimension possiblement transitoire. Les deux pianos, motorisés, sont accordés à un quart de ton d’écart et prennent la place des instruments à vents et à cordes. Les vents sont actionnés par les touches, tandis que les cordes sont actionnées par les moteurs. À tout ceci s’ajoutent des percussions d’orchestre : des timbales, un triangle et des cymbales. Les deux percussionnistes jouent tour à tour comme solistes avec les percussions d’orchestre, ou en actionnant la console qui contrôle les moteurs.
Cette œuvre poursuit une sorte d’utopie : est-il possible de recréer toutes les possibilités d’un orchestre avec seulement quatre musiciens et huit moteurs ? Elle reflète également mon intérêt pour les contrastes, imperfections et irrégularités du son.
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