« L'utilisation des souvenirs n'est pas une chose nouvelle pour moi qui suis un récidiviste de l'autobiographie. Ce qui est différent ici, c'est l'installation du son et de l'image. De la même manière que je suis un compositeur-preneur de son, je suis là un compositeur preneur d'image. Le cycle des souvenirs signifie aussi que tous les éléments sont architecturés en cycles qui, en se superposant, produisent des rencontres hasardeuses. C'est pour cela que tout est tournant. »
Luc Ferrari.